2 Days in New York

2 Days in New York

  • La piste aux étoiles

Fiche technique

Titre en VF
2 Days in New York
Titre en VO
2 Days in New York
Année (copyright)
2012
Réalisateur(s) et acteurs principaux
Réalisatrice Julie Delpy, Acteurs, Julie Delpy, Chris Rock, Albert Delpy, Alexia Landeau, Alexandre Nahon, Daniel Brühl, Malinda Williams, Kate Burton, Dylan Baker, Emily Wagner, Vincent Gallo
Genre(s)
Comédie
Thématiques
New York, Photographes et photographies, Couples en crise, Maman est morte, Veufs et veuves, Relations entre pères et filles, Relations entre sœurs, Différences sociales - religieuses, Films de 2012
Pays de production
France,  Allemagne
Durée
1 h 35 min
Résumé
Marion, photographe d'art, vit à New York avec Mingus, animateur radio. Ils ont chacun un enfant d'une précédente union. Peu de temps après la mort de la mère de Marion, son père vient lui rendre visite, amenant de France quelques dizaines de fromages et de saucissons. Sa sœur et son compagnon sont aussi du voyage. Ces trois Français vont mettre un joyeux bordel dans le quotidien du couple new-yorkais.
IMDB

Mon avis

Cinq ans après 2 Days in Paris, voici la suite, 2 Days in New York. On prend (presque) les mêmes et on recommence. Julie Delpy tourne en famille avec Albert Delpy, son père acteur, et Alexia Landeau, sa sœur (actrice et coscénariste du film). Elle retrouve aussi Alexandre Nahon (acteur et coscénariste) et Daniel Brühl (dans un petit rôle). Nouveau venu : Chris Rock remplace Adam Goldberg pour jouer le compagnon du personnage incarné par Julie Delpy.

2 Days in New York est un film sous influence. Celle de Woody Allen. Névroses familiales et amoureuses, d’inspiration autobiographique. Humour cru, absurde et grotesque. Dialogues mitraillettes. Frénésie dans l’enchaînement des scènes. Et Manhattan en toile de fond.

Le résultat est inégal, mais plutôt agréable. On aime la liberté de ton de l’actrice-réalisatrice. Sa dinguerie est réjouissante et quelques scènes sont vraiment très drôles, notamment celle où elle rencontre Vincent Gallo, à qui elle a vendu son âme. Le portrait des Français à l’étranger (rabelaisiens, impudiques, sans-gêne) est assez amusant même si un peu appuyé. La réalisation est énergique mais foutraque. Et la mélancolie qui point à la fin aurait mérité d’être plus développée. Bref, c’est généreux, il y a à boire et à manger, du cliché et de la fantaisie, de l’habileté et de la maladresse. Et un je ne sais quoi qui force la sympathie.

Frédéric Viaux (film vu le 12/04/2012)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *