Y a-t-il un flic pour sauver le président ?

The Naked Gun 2½: The Smell of Fear

  • La piste aux étoiles

Fiche technique

Titre en VF
Y a-t-il un flic pour sauver le président ?
Titre en VO
The Naked Gun 2½: The Smell of Fear
Année (copyright)
1991
Réalisateur(s) et acteurs principaux
Réalisateur David Zucker, Acteurs, Leslie Nielsen, Priscilla Presley, George Kennedy, O.J. Simpson, Robert Goulet, Richard Griffiths, Jacqueline Brookes, Anthony James, Lloyd Bochner, Tim O'Connor, Peter Mark Richman, John Roarke, Margery Jane Ross
Genre(s)
Comédie, Policier / Crime
Thématiques
Adaptations de séries TV, Comédies policières, Parodies, Présidents des États-Unis, Jalousie, Figures du double, Message écolo, Une question ?, Films de 1991
Pays de production
États-Unis
Durée
1 h 25 min
Résumé
Le président des États-Unis, George Bush, annonce qu'il suivra, en matière de politique énergétique pour le pays, les recommandations du professeur Meinheimer, favorable aux énergies renouvelables. Ce que ne voient pas d'un bon œil les représentants des industries liées à d'autres types d'énergies, qui se liguent pour éliminer le professeur. Heureusement (ou malheureusement...), le lieutenant Frank Drebin va entrer en action.
IMDB

Mon avis

Le fameux sigle ZAZ (David Zucker, Jim Abrahams, Jerry Zucker) apparaît dans les crédits pour la production et la désignation des créateurs de la série TV Police Squad, à l’origine de la série ciné des Y a-t-il un flic… Mais le scénario n’est pas, cette fois, l’œuvre du trio. On y retrouve seulement David Zucker (qui signe par ailleurs seul la réalisation, comme dans Y a-t-il un flic pour sauver la reine ?) associé à Pat Proft. Ce scénario reprend une formule qui a fait ses preuves. Le comique burlesque du geste maladroit fait à nouveau son petit effet. Le registre parodique (qui revisite notamment les films Casablanca et Ghost) a ses moments savoureux. Le comique de mots n’est pas en reste. Mais l’ensemble est plus inégal que le précédent opus, avec quelques gags qui tombent à plat et plus de lourdeurs dans l’humour à connotation sexuelle. Un peu plus vulgaire, un peu plus grossier en matière d’enchaînement narratif, ce deuxième épisode des aventures de Frank Drebin au cinéma ne convainc qu’à moitié, même si l’on rit toujours (bêtement) de quelques scènes réussies et de nombreux détails amusants.

Frédéric Viaux (film vu le 10/10/1998, revu le 22/11/2025)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *