Un, deux, trois

One, Two, Three

  • La piste aux étoiles

Fiche technique

Titre en VF
Un, deux, trois
Titre en VO
One, Two, Three
Année (copyright)
1961
Réalisateur(s) et acteurs principaux
Réalisateur Billy Wilder, Acteurs, James Cagney, Pamela Tiffin, Horst Buchholz, Arlene Francis, Liselotte Pulver, Howard St. John
Genre(s)
Comédie
Thématiques
Berlin, Guerre froide, Monde du travail et de l'entreprise, Aimé par Martin Scorsese, Films de 1961
Pays de production
États-Unis
Durée
1 h 45 min
Résumé
1960. MacNamara, le représentant de Coca-Cola à Berlin-Ouest, reçoit la visite de la fille de son patron américain. À son grand désespoir, celle-ci est incontrôlable : elle passe à l'Est, tombe amoureuse d'un jeune communiste... et l'épouse. Soucieux de sa promotion, MacNamara va tenter de rétablir la situation à son avantage.
IMDB

Mon avis

Sur le papier, l’idée de rire du communisme, tout en se moquant du capitalisme forcené des Américains via leur impérialisme économique (dont Coca-Cola est ici le symbole), est alléchante. Avec Billy Wilder aux commandes, on s’en réjouit à l’avance. Malheureusement, le cinéaste a oublié sa subtilité aux vestiaires. Un, deux, trois est une comédie assez hystérique, caricaturale, soûlante. Et James Cagney surjoue.

Le Mur de Berlin a été élevé pendant le tournage de ce film, en partie sur les lieux où Wilder avait dressé ses décors. L’équipe a ensuite été déplacée à Munich pour tourner les dernières scènes. Compte tenu de cet événement et du contexte international, peu propices à la rigolade, cette comédie « berlinoise » eut peu d’écho à sa sortie dans les salles.

Frédéric Viaux (film vu le 19/11/2006)

Commentaires 1

  1. Riquet36

    Lourd et longuet. Intéressant pour l’ambiance « guerre froide ». Mais Cagney n’est pas à l’aise et en fait des tonnes : ça sonne faux. Par contre, Arlene Francis (la mère) est dans le ton de la comédie, pimpante et très juste.

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